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Livre d'or

242 message(s) dans le livre d'or

  • esteve jules
  • Le 01/03/2023

suite au message de mr jean pierre jurado sur les photos de la colonie de viverol sur les marches de la cathédrale je suis à côté du
chien demsey avec mon frère rene et fuentes belda gonzales michel et son frère guy herredia salcedo . c'est moi qui est transmis les photos à l'écho de l'oranie ainsi celle de la sénia premier voyage avec la caravelle.
pira m'avait envoyé toutes les chansons de la colo.
en réponse à jurado jean pierre

  • Montaner René
  • Le 28/02/2023

Bonjour les Ami(e)s
Comme souvent, je réagis dés que j'ai lu et parcouru les articles qui me touchent le plus...
Pour ce numéro 405 de Mars , je voudrais vous féliciter pour la qualité de l'ensemble des articles et photos retenus par la Rédaction
et en particulier pour l'édito sur les cimetières civils d'Algérie où je reste admiratif de tout ce que fait le CSCO afin que ,à travers les cimetières, nous puissions continuer à témoigner de notre passage sur cette terre d'Algérie.
Par ailleurs ,étant un enfant de la Place Kléber(Marine oranaise) j'ai eu le plaisir de lire l'excellent article de Michel Galano qui ,à mon avis, semble se terminer comme s'il manquait quelques lignes ,pleine d'humour, pour sa conclusion !
Que dire ,encore pour l'article que Emile Serna consacre à son aîeul et qui nous fait penser aussi ,à ses parents...celles et ceux qui ,comme moi, ont eu la chance de bien connaitre sa mère et son père, ne savent pas la chance qu'ils ont eu ! car ne me demandez pas pourquoi lorsque je lis Emile je repense à Romain Gary et à "la promesse de l'Aube !".
Salut à tous les Amis et Bravo encore à toutes celles et ceux qui ont écrit ces beaux articles.
René

recherche des photos de la colonie de vacances Ben-aïssi près de Misserghin
Merci d'avance
Alain
Lopez

  • Montaner René
  • Le 16/09/2022

Bonjour à Toutes et à Tous,
je voudrais, tout simplement, dire un grand Bravo à notre ami Emile SERNA pour son article sur l'Ecole Normale..d'Oran ...dont je croyais qu'il état issu...il apporte ainsi la preuve par 9 ! que " le tout meilleur" des enfants de la Marine, a réussi à jouer dans la cour des grands sans connaître cette prestigieuse école de Formation...aurait-il fait ,pour autant, le parcours aussi brillant qui l'a conduit jusqu'au poste le plus important de L'IA.(inspection Académique ).
Si d'aventure il décidait de donner une suite à son article, j'aurais aussi beaucoup aimé qu'il nous dise quel était le pourcentage des enfants de la Marine ayant réussi à faire cette école car , après la "prestigieuse!" école primaire Emerat ,je n'en connais pas beaucoup qui l'ait faite.
Je tiens tout de même à préciser que lors de la création de la Revue "l'Echo de l'Oranie" ,j'ai eu la chance de voir mon père rédiger ,de sa belle écriture, toutes les adresses des abonnés de l'époque 62!.
Nous étions à Castres et je peux vous dire que ma langue ,plus d'une fois, a servi ...à coller les bandes adresses !
Tout comme Emile qui reste pour beaucoup d'entre Nous ,une figure emblématique de notre quartier , je reste persuadé que l' Ecole était un lieu magique ! où nos instits nous ont transmis tous les moyens pour devenir de parfaits citoyens !
En regardant bien , aujourd'hui, ce qui reste debout dans notre anciens quartier on aperçoit le bâtiment où nos maitres nous ont formés...Voilà, pour conclure , la Preuve par 9 qu'il reste encore quelque chose de Nous dans cette école qui tient toujours debout !
Merci Emile et comme dirait Brel..." on t'aime tant "...
Renem

  • pasqual roger
  • Le 15/03/2022

bonjour je voudrais mettre une annonce de deces sur votre journal dont je suis abonnee mers el kebir blois deces de pasqual antoine

  • Lopez jean claude (site web)
  • Le 11/03/2022

Ce texte a été rédigé par mon frère Pierre ainsi que mon Beau-frère Christian à la mémoire

De leurs Papy et Mamy et suivant leurs confidences à l’intention de tous leurs petits enfants.

Ce jour de Mars 2013 …Je retrouve ce texte dans mon tiroir
Je vous raconte avec émotion leur périble au départ d’ORAN

DES ORANAIS DANS LA TOURMENTE



Pierre LOPEZ, votre grand père est né à ORAN (ALGERIE)le 12 décembre 1912,et il
Représentait la troisième génération de sa famille sur le sol oranais, région ayant appartenu a l ‘Espagne depuis Charles Quint avant de devenir française en 1830.Son grand père, venu d’Espagne, était maçon. Son père, qui a fait la guerre de 14-18 pour la France, était aussi maçon puis contremaître et enfin artisan. Et Pierre, votre papy devint lui aussi maçon. Il commença à travailler dès l’âge de 13 ans. Doué et appliqué il se spécialisa dans le montage des cheminées, art difficile. Vers 1930, devenu plâtrier, il réalisa toutes les moulures de la Grande Poste d’ORAN, comme ouvrier puis contremaître de l’entreprise PRESTINI qui à la mort du patron en 1948 devint l’entreprise DELGADO et LOPEZ…
Papy a épousé Mamy (Joséphine LOPEZ) en 1935.Elle est née dans un petit village au sud d’ORAN …Ain-El-Arba et, plus tard, ses enfants la plaisantaient souvent en parlant de l étendue de ce village vraiment minuscule. Son père (votre arrière grand-père) été régisseur à la ferme SENECLAUZE, un viticulteur dans cette commune et sa mère (votre arrière grand mère)
Y travaillait aussi. C’est dans cette ferme que naquirent leurs six enfants.
En 1953 Papy s’installe à son compte à Choupot, un quartier d’ORAN. Il est compétent et sérieux, sa bonne réputation se confirme et son affaire prospère. En 1960 il dirige 23 ouvriers, en majorité arabes. Deux de ces familles logent dans un de ses dépôts construit dans un dépôt de matériel par son fils Jean Claude (votre oncle) maçon .
Papy, Mamy et leurs enfants habitaient une grande villa à Choupot (34 rue des Bienvenus) amoureusement bâtie et entretenue par lui même et son père. Entre deux vastes garages qui donnaient sur la rue, un mur bas surmonté d’une grille laissé voir un jardin. Une grande pergola couverte de rosiers ombrageaient l allée menant aux deux appartements surmontés d’une terrasse avec buanderie. Sous le figuier une longue table et des bancs en ciment qu il avait avec goût recouverts d’éclats de céramique et, où è la fin des chaudes journées d’été, on accueillait avec des verres pleins parents et amis……Puis un jet d’eau toujours en petits carreaux de faiences et ou baignaient des poissons rouge…et nous avions le coin ping-pong…sous une jolie tonnelle en lattis de bois couverte de lierre ….là se déroulait de véritables parties en famille acharnées dont papy était …très bon joueur…sur un tableau vert accroché au mur on notait nos scores un véritable championnat .





TRACASSERIES POLICIERES
. En 1961, les grands parents achètent a Saint-Roch, près de Trouville, une maisonnette (on disait un cabanon)
en bordure de mer où lui-même, sa famille et celle de ses enfants se réfugieront la dernière année avant l’indépendance. Cette proximité du camp des militaires de Trouville leur évitera d’être trop inquiétés après les accords d’EVIAN. Par contre, à Choupot, comme tous les Pieds-Noirs, ils seront sans trêve soupçonnés et malmenés par les C.R.S du général KATZ, gouverneur militaire d’ORAN, les mêmes qui fouillaient plusieurs fois par semaine les collégiens à la sortie des cours. Papy n’apprendra qu’après son retour d’un bref voyage en France, en Août 1962 que son voisin, l’épicier Mr xxxxx faisait partie de l’O.A.S (organisation de l’Armée secrète)et cette découverte l’éclairera sur l’insistance des C.R.S à fouiller à maintes reprises sa maison, pendant les derniers mois avant l’indépendance.
Le premier contrôle eut lieu juste après la promulgation d’un arrêt ordonnant la remise des armes individuelles détenues par les particuliers. La fouille fut complète : toutes les armoires vidées sur le sol, les matelas explosés, mais le comportement de la police resta assez correct. Papy avait naivement disposé sur le lit les décorations méritées par son père lors de la guerre de 14-18.Pour lui, ce n étaient pas des babioles mais la preuve évidente que la France lui devait aide et protection contre ceux qui voulaient le chasser de l’ALGERIE, son pays.
Papy avait sorti verres et bouteilles à l’arrivée des C.R.S. et comme ceux-ci étaient restés bredouilles, la tension baissa, on trinqua mais, en partant les C.R.S. prévinrent qu’il y aurait d’autres contrôles et que leurs collègues seraient peut-être plus durs.
En effet, d’autres perquisitions suivirent bientôt. A la pointe du jour, les automitrailleuses arrivaient, les canons pointés vers les fenêtres. Les C.R.S. , mitraillettes au poing , cernaient le pâté de maisons.
L’épicerie de Mr xxxx était mitoyenne et papy l’avait autorisé à percer le mur qui les séparait afin de porter aide (disait-il) en cas d’attaques par les foules arabes car ni l’armée ni les C.R.S. ne se souciaient plus de contenir celles-ci depuis les accords d’EVIAN. Et, chaque fois qu’il y avait fouille chez l’épicier voisin Mr xxx , celui-ci se mettait à l’abri chez les grands parents et laissait sa femme seule se débattre avec les troupes , les armes et les munitions étaient cachées dans des sacs de semoule, de lentilles ou de sucre . Mais les C.R.S. avaient beau chercher dans toute la maison et dans le jardin, ils ne trouvèrent jamais rien dans la villa familiale. Ils repartaient furieux et menaçants revenant parfois moins de deux heures après la première fouille et Papy qui n’avait jamais caché d’armes chez lui ne comprenait rien à leur acharnement.
Une fois, les C.R.S. ont cru triompher après avoir découvert un anneau de goupille de grenade dans un tiroir où mamy rangeait le linge. Elle eut toutes les peines du monde à les convaincre qu’il s’agissait d’un souvenir de son fils Jean-Claude, sous les drapeaux dans les oasis du M’ZAB à Laguouât , dans un D.T.O dans un D.T.O qui lui avait amené lors d’une permission .Tant que celui-ci ne fut pas de retour d’HAMMAM-BOU-HADJAR où il était allé voir sa sœur , institutrice, et son premier embrassé son neveu, les grands parents furent maintenus sous surveillance.

L’INDEPENDANCE , LE DEPART.
Le 5 juillet 1962, le jour de l’indépendance, la foule musulmane encadrées par les troupes du F.L.N. juste arrivées du MAROC massacra plus d’un millier d’ « européens »à ORAN. Plusieurs milliers sont portés disparus .Le général KATZ ne réagira qu’à 17 h, neuf heures après le début des rafles et des assassinats en plusieurs points de la ville. Notre famille comprend enfin que, malgré son attachement pour son pays et la bonne entente qui régnait entre le patron et les ouvriers, il fallait partir et abandonner tout espoir d’un avenir à ORAN.
. Le 20 juillet, Papy, Mamy, et leur plus jeune fils, François, partaient en avion pour un voyage exploratoire en France .Après plusieurs jours de recherche dans la région toulousaine ils trouvent enfin une grande et vieille maison près de la colonie de vacances (Le Lezert) que leur fille connaissait pour y avoir séjourné en tant que monitrice. Ce lieu-dit s’appelle « Lagarrigarié » au dans la Vallée du Sidobre. Ils pourraient loger ainsi leurs enfants et une partie de leur belle-famille.
Papy revient donc seul à ORAN au début du mois d’Août afin de venir y chercher le reste de la famille et ses meubles. Mais, dans l’intervalle l’épicier Mr xxxx s’était débarrassé de ses armes compromettantes en les cachant dans la buanderie de notre famille (ou en les enterrant dans le jardin).
Dès son arrivée il rentre au cabanon et annonce qu’il a trouvé une maison assez grande pour accueillir tout le monde .Tous se mettent au travail pour fabriquer des caisses et essayer
D’emballer ce qui peut être emporté. Encore faut-il avoir des places sur un bateau pour partir.
C’est une cousine, la fille d’une sœur à Mamy, Hélène, qui procure ces fameux billets
Mais là, gros problèmes, les bagages passent à la fouille et on trouve un petit flacon d’alcool, c’est interdit. On trouve également un petit canif de poche : c’est une arme ! Papy comprend vite de quoi il s’agit et glisse un gros billet dans la main du responsable : d’un seul coup le canif redevient un petit couteau inoffensif…..et les caisses peuvent être embarquées.

Le jour du départ, le 6 Août, de grosses frayeurs attendent encore la famille. Tout le monde attendait dans la salle d’embarquement le monter à bord. Un algérien escorté d’un énorme garde du corps armé d’un pistolet mitrailleur se présente et ordonne au gendre de Papy et Mamy et à son frère de le suivre. Ils sont emmenés dans un bureau et interrogés afin de savoir pourquoi ils partent en France. La réponse « pour passer un mois de vacances »ne satisfait pas notre interlocuteur qui menace de faire descendre les bagages de ces jeunes et de les retenir à ORAN .Il quitte la pièce et revient un moment plus tard, l’air furieux ; « j’espère que vous f….la même m…..en France » leur dit-il en guise d’adieu et il les laisse partir. Ils ont à peine le temps de poser le pied sur le pont, le navire quitte le quai. Fort heureusement Notre sœur qui attend un bébé et l’arrière-grand-mère (mère de Mamy) qui sont montés avant les autres car elles avaient pu avoir une cabine n’ont pas su ce qui s’était passé : elles ne l’apprendront qu’en arrivant à Marseille. Ont échappé à ces tracas l’oncle Pierre et son frère l’oncle Jean-Claude (frères de la sœur précitée ci-dessus) militaires tous deux et le frère le plus jeune resté à Castres avec Mamy.
Avant de partir, les grands-parents avaient loué la villa à un algérien, ancien instructeur,
C’est à dire enseignant avec un niveau inférieur au bac, devenu personnage important à la préfecture. Il ne paiera jamais le loyer promis. Prétexte : la villa avait servi de repaire pour l’O.A.S. on avait trouvé des armes , on avait torturé des arabes !! dans la buanderie et les traces de sang pouvaient en témoigner (en fait de sang des pigeons élevés par l’oncle Jean-Claude et qui de temps à autre passaient « à la casserole ».Tous les meubles entreposés dans le garage disparaîtront lorsque le « locataire » apprendra que l’oncle Jean-Claude était revenu à ORAN pour se marier au Consulat de France.

NOUVELLE VIE , RECHERCHE D ‘UN EMPLOI
Voilà donc Papy et Mamy et sa famille en France sans avoir pu régler le problème de ses avoirs laissés en Algérie (cela se fera beaucoup plus tard).
Papy et Mamy passent un peu plus d’un an au Havre chez leur fille à l’occasion de la naissance de leur deuxième petit fils. Ils repartent ensuite pour Castres où Papy essaie de trouver du travail. Il se propose pour un emploi de contremaître dans une entreprise de construction. On lui soumet, ainsi qu’à d’autres postulants, un plan de travail sur lequel on lui demande son opinion. Il relève certaines erreurs de conception et de technique. A l’issue de ce test, le patron le félicite :il est le seul des demandeurs à déjouer tous les pièges de l’épreuve. Voyant qu’il s’appelle LOPEZ il lui demande « êtes-vous rapatrié ? ».Et sur la réponse positive il lui annonce « Alors, je ne peux vous garder, mes ouvriers ne voudront jamais recevoir d’ordres de vous ».
Une autre mésaventure montrant le climat dans lequel les rapatriés étaient souvent reçus : Papy devait se rendre à la Préfecture à TOULOUSE
. Il y avait été emmené en voiture (la 4 CV RENAULT de son fils Pierre) par son gendre .Une fois en plein centre-ville, ne connaissant pas les lieux, il s’arrête pour demander son chemin à un passant. Celui-ci commence fort aimablement à le lui indiquer quand son regard tombe sur la plaque d’immatriculation (indiquant le département d’ORAN) du véhicule .Son ton, son attitude changent totalement et c’est très froidement qu’il poursuit « Il y a un agent là-bas, allez le lui demander ».Papy, ne pouvant plus se contenir, allait se précipiter sur lui pour le frapper. Il a fallu que son gendre s’interpose,le ceinture et le calme. Un bon moment après il en tremblait encore. Comment expliquer le comportement de ce passant ? Désinformation ?
Après bien des déboires et des refus Papy finit par trouver au HAVRE un patron très humain et chaleureux qui commence par lui faire rénover complètement une maison. Puis, satisfait de son travail, il l’engage définitivement. Mais, après quelques années, la chance l’abandonne encore. Au cours d’un chantier, il tombe, pas de bien haut, 1,50 m environ, mais le coup porte sur la nuque. Il devient moins sûr de ses gestes, il a des troubles de mémoire. Il reprend son travail mais bientôt il est à nouveau heurté à la tête par un lot de planches.
Les grands-parents viennent alors s’installer à PERIGUEUX près de leurs deux fils (Pierre et Jean-Claude)et leur famille qui s’y trouve déjà, mais malgré la sollicitude de son épouse, Papy perd courage. Il rêve d’ORAN où est resté sn cœur .Plein de regrets et la maladie aidant, il imagine combien serait douce la fin de vie bien remplie s’il avait pu rester dans sa maison, au milieu de ses amis, dans sa famille, là-bas. là-bas , mais déjà si loin ….où il faisait si bon vivre.

……la villa maintenant….c’est un centre culturel INART 34, rue Touaa Kada (ex rue des bienvenus) -Choupôt, Oran, Algérie


Comme à chaque lecture…..je ne puis empêcher mes larmes de couler sur mes joues…….
JEAN CLAUDE LOPEZ
SON FILS

  • EDGARD PEREZ
  • Le 09/03/2022

Merci, merci!!!, vous lire, m'a toujours réchauffer le coeur et les souvenirs.

  • Renem
  • Le 09/03/2022

Bonjour les Amis de L’Echo de L’Oranie
Comme d’habitude,nous avons eu droit à un excellent Édito mais je crois qu’il est grand temps que j’aille faire contrôler ma vue car , à la fin de l’article, ce n’est pas par manque de caractères que j’ai « péché » mais par le fait que je n’ai pas bien vu la taille du renvoi 1 et j’ai cru…un instant …que c’était René Rémond qui en était l’auteur…Quel dommage que le nom du Rédacteur en Chef n’apparaisse pas en fin de l’Edito et quelle en ait la raison?
Merci de votre réponse et pardonnez moi si je n’ai pas tout de suite rectifié …de moi même.

  • yvette brochet
  • Le 01/03/2022

Bonjour J louis
Regarder dans le site de L AEEMO nous avons des photos de la rue d Orléans moi même j habitait du côté de la rue d'Orléans .

  • jean-pierre jurado
  • Le 26/01/2022

Bonjour et bonne année 2022 à tous mes compatriotes et aux membres du journal.

je viens de retrouver 3 photos de départs en vacances vers la colonie de Viverols (Puy de Dôme).Le directeur se nommait M. Freynet.
1953: photo des enfants que nous étions à l'époque, devant la cathédrale d'Oran, avant le départ en bateau.
1957-1958: 2 photos prises à la Sénia avant le départ en avion.
Ces photos paraîtront dans un prochain "Echo de l'Oranie".
Si certains se reconnaissent, j'enverrai gracieusement ces souvenirs.
Amicalement, un Pied Noir né à Saint-Eugène en 1942.

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